À toi qui ne fus jamais là, au futur que nous n'aurons pas. À nos lettres non envoyées, à l'amour, encore une fois blessé. À ton indifférence qui me colle à la peau, à tes discours qui sonnaient toujours faux. À la prochaine qui embrassera tes lèvres, aux souvenirs bafoués qui résonnent sans trêve. À ton odeur qui doucement s'échappe, à la vie qui doucement nous happe. À un amour malsain mais passager, comme un bonheur qu'on n'aurait su garder.
6 mai 2009
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2 commentaires:
Superbe photo, délicieusement romantique.
Merci...
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